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Archives du mois de 09 2021Le mot du président, au lendemain de la grosse évacuation sous contrainte à Calais.29 septembre 2021 -les mauvaises habitudes ne se perdent pas facilement ce matin les forces d l’ordre qui gouvernent dans notre cher pays ? décidément, le plus plus sécuritaire a fait des émules ! Jean-Claude Lenoir Le mot du président après l’évacuation sous contrainte de ce matin à Calais.28 septembre 2021 -Le mot du président : LA HONTE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
et si la campagne pour l’élection présidentielle était l’occasion pour tous les Démocrates de se lever et de dénoncer de tels agissements ! nous voici revenus 20 ans en arrière ! que dis-je ! pire ..... les images les plus sombres de l’Histoire resurgissent comme une gifle ! notre République est gravement malade Jean-Claude Lenoir Une lueur d’espoir ? Relaxe par la justice pour les accusés de Briançon.12 septembre 2021 -Un article du "Monde" du 9 septembre 2021. Les migrants refoulés en mer à l’arrivée au Royaume-Uni ?9 septembre 2021 -Contre le droit international, contre les lois de la mer !!! Un article du Monde du 9 septembre 2021. Comment les communes du Boulonnais s’adaptent pour accueillir les migrants naufragés.4 septembre 2021 -"Voix du Nord" du 1er septembre 2021 Les opérations de sauvetage de migrants se multiplient sur le littoral. Les plages du Boulonnais, prisées des candidats à l’Angleterre, ne font pas exception. Depuis quelques mois, les municipalités s’adaptent pour mieux accueillir les naufragés. Aude Deraedt Samedi 21 août restera une date marquante dans le Boulonnais. Pas seulement pour les sauveteurs de la SNSM (1) et les équipages des navires de la Marine nationale, qui ont récupéré une centaine de migrants en mer. Les élus et agents de plusieurs communes du Boulonnais s’en souviendront eux aussi. Ils ont accueilli une grande partie de ces naufragés. Une mission qui devient récurrente, en particulier pour les communes situées près de la forêt d’Écault, un des lieux de passage privilégiés, cette année. « Nous avons accueilli 25 migrants ce samedi-là, explique Brigitte Passebosc, maire de Saint-Étienne-au-Mont. Ça fait plusieurs fois qu’on est sollicités par les sapeurs-pompiers ou les gendarmes. On nous demande d’ouvrir une salle quand ils sont mouillés ou quand il y a des enfants. » « Détresse » Christian Fourcroy, maire d’Équihen-Plage, a lui aussi été appelé ce jour-là. « C’était vers 7 heures, pour une vingtaine de migrants. Ils n’étaient pas mouillés, donc on ne m’a pas demandé d’ouvrir la salle. » Il a toutefois mobilisé les services de la ville pour dégager les bateaux. « Ça fait partie de notre devoir. » « Une question d’humanité » À Dannes, la salle du camping a été mise à disposition des naufragés à deux reprises cet été.À Dannes, la salle du camping a été mise à disposition des naufragés à deux reprises cet été. (1) Société nationale de sauvetage en mer. Une procédure calée entre préfecture et mairies Un protocole créé en 2020 La protection civile intervient régulièrement lors des opérations de sauvetage qui concernent des migrants, comme ici, en juin, à Boulogne. PHOTO ARCHIVES « LA VOIX » « Les bénévoles de la protection civile peuvent, le cas échéant, mobiliser sur les plages des tentes chauffées, un réassort de vêtements pour les personnes mouillées et organiser l’attente en vue d’une réorientation des publics vers une structure d’hébergement départementale, précise la préfecture. Ils sont également en capacité d’équiper en couchage des salles communales. » Ce dispositif, qui s’ajoute à celui déployé par les mairies en attendant l’arrivée de la protection civile et des associations, « est entièrement financé par l’État ». Les naufragés sont ensuite pris en charge par les autorités. Ou repartent, pour retenter, plus tard, la traversée. Plusieurs maires demandent des moyens On est allés faire des courses dès qu’on a su qu’il faudrait ouvrir la salle », explique Laurence Prouvot, maire de Wissant, où le dispositif a été mis en place une fois cet été. À Saint-Étienne-au-Mont, après l’arrivée de 25 naufragés, le 21 août, la question était de « refaire le stock ». « On fait des courses en amont, explique la maire, Brigitte Passebosc. Pour le moment, le budget que cela demande reste raisonnable. Mais si ça se poursuit, ça peut devenir plus compliqué. » « On essaie tous de s’adapter au mieux » Un point également souligné par la maire de Neufchâtel-Hardelot, Paulette Juilien-Peuvion. « On a besoin d’un bus, d’un chauffeur, de denrées, de désinfecter et de nettoyer les lieux... Pour le moment, aucune indemnisation n’est prévue pour ça. J’en ai parlé à la sous-préfète. Mais l’État est un peu comme nous, en ce moment. On essaie tous de s’adapter au mieux. » |