Courrier International : Face au Covid 19 les camps de réfugiés n’ont aucune chance.
18 août 2020 -
Nous savons tout cela.
C’était notre terreur en mars au début du confinement quand 400 à 500 personnes s’entassaient à la Linière sans toilettes et sans douches. Avec une citerne d’eau non potable apportée le matin sur ordre de la préfecture et remportée le soir.
L’absence de cas avéré sur Calais et sur Grande-Synthe rassure un peu mais nous savons combien c’est fragile.
C’est bien de le rappeler.